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De concert – prestations en langue anglaise

Joanna Coryndon est traductrice du français vers l’anglais depuis dix ans.

Nous travaillons en binôme puisqu’elle réalise également préparation de copie, correction simple ou approfondie, relecture d’épreuves et contrôle de la mise en pages de textes en anglais (traduits par une tierce personne ou rédigés directement en anglais).

Elle est spécialisée dans les arts et les lettres, et affectionne plus particulièrement les arts visuels. Elle compte parmi ses clients des musées des beaux-arts, des maisons d’édition, et des instituts et regroupements de recherche universitaire. Elle est membre de la Société française des traducteurs (SFT), du Chartered Institute of Copy Editing and Proofreading (CIEP) et de l’Institute of Translation and Interpreting (ITIau Royaume-Uni. 

William Nicholson, On the Downs (Wiltshire Landscape), 1924. © Bridgeman Images

 

À la française

Yoann Thommerel lit son livre À la française à l’occasion d’une soirée sur la littérature et la typographie organisée dans le cadre des Mardis de Lure

Texte poétique, drôle, touchant. À écouter et à voir. En simultané grâce à l’auteur lecteur. 

L’écoute d’un texte inconnu, c’est comme aller à un concert lorsque l’on ne connaît pas le groupe sur scène. Quand on le lit ensuite, une intimité, un écho s’y ajoutent. C’est unique.

L’approche typographique d’À la française est géniale, je n’en dis pas plus, j’adore ce livre. Bravo à Gabriele Čepulytė.

La bibliodiversité, ou l’enjeu de la diversité éditoriale

Normandie Livre & Lecture a organisé une journée professionnelle dédiée à la bibliodiversité ce jeudi 19 mai 2022.

Les échanges du matin ont porté sur l’urgence de la bibliodiversité face aux rouleaux compresseurs des multinationales qui entraînent surproduction et saturation du marché du livre (Gisèle Sapiro). Et, constat enthousiasmant, ce sont les éditeurs indépendants qui, partout dans le monde, relèvent le défi de la diversité éditoriale (auteurs, sujets, publics, langues…).

Sur 6 000 langues, 20 dominent le monde, donc les langues ont besoin des livres et du volontarisme des éditeurs (et des politiques…).

Comme l’explique Pierre Astier, on n’exporte pas les livres, on doit les éditer sur place, les accompagner ! Mais le livre fait peur, et éditer peut relever du parcours du combattant, si l’on écoute le témoignage d’Elisabeth Daldoul.

« Il n’y a pas de “petites” maisons d’édition, il y a des ”bonnes” maisons d’édition » dit-elle.

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